Sylvain
Pour te décrire il me faudrait, je le redoute,
Toutes les feuilles que les arbres d’une forêt,
Même grande, pourrait me donner.
Tu es celui qui m’a rappelé
que l’amitié,
Bien que précieuse, restait complexe,
Et des fois, à notre grand regret, un luxe.
Bien que précieuse, restait complexe,
Et des fois, à notre grand regret, un luxe.
Nous sommes souvent
resté perplexe,
Sur nos idées et ceux que l’on affectionne.
Notre vision du monde est peu commune.
Sur nos idées et ceux que l’on affectionne.
Notre vision du monde est peu commune.
Aujourd’hui tu es, sans
doute, la personne,
A le mieux connaître ma vraie âme,
Te perdre, encore, de ma vie serait un drame.
A le mieux connaître ma vraie âme,
Te perdre, encore, de ma vie serait un drame.
Nous nous sommes
connu à la trame,
D’une vie d’adulte semée de doutes.
Dix ans et nous avons vécu cette même route.
D’une vie d’adulte semée de doutes.
Dix ans et nous avons vécu cette même route.
Aujourd’hui, une faé m’a dit :
Tu es une de ces rares personnes à comprendre,
Sans pour autant juger, les méandres de mon esprit.
Ton amitié m’est précieuse, ne disparais plus jamais.
So
Tu es une de ces rares personnes à comprendre,
Sans pour autant juger, les méandres de mon esprit.
Ton amitié m’est précieuse, ne disparais plus jamais.
So